Comment bien faire vivre son site Internet ?

Une fois que l’on a mis en ligne son signe Internet, en se basant sur le gabarit type mis à disposition, sur demande, par la Fédération et accompagné de tutoriels, il importe de l’alimenter comme il se doit. Et ce, pour donner envie de s’y connecter et de le parcourir. Voici comment.
Une première page d’accueil… accueillante
Un peu comme le sommaire d’un livre, un site Internet comporte des pages dites essentielles. La première est la page d’accueil . Sa vocation est de présenter sommairement l’Association et de renvoyer aux autres sections ou rubriques (le fonctionnement et l’organigramme du Club ; les valeurs qu’il promeut ; les disciplines proposées en les détaillant, notamment celles qui sont inconnues du grand public ; le planning et les créneaux horaires ; les modalités d’adhésion et d’inscription ; les actualités, etc…). Le tout sans omettre de faire figurer les mentions légales.
Une arborescence claire et compréhensible
Surtout, la structuration du site, autrement dit, son arborescence, doit être claire et compréhensible de prime abord. Rien n’est pire que de se perdre en cliquant et de ne plus savoir où l’on est.
Un apport rédactionnel régulier
Après le contenant, le contenu. Le minimum est d’éditer deux articles par mois. C’est là une condition pour attirer et fidéliser les visiteurs afin qu’ils n’aient pas le sentiment que le site n’évolue pas. Cela atteste aussi que le Club n’est pas en sommeil mais bel et bien dynamique. En vantant les actions qu’il met en place et les initiatives qu’il prend, il conforte son identité aux yeux des tiers.
Favoriser et optimiser son référencement
Par ailleurs, il convient de rédiger de manière à favoriser et à optimiser son référencement. En clair, à faire en sorte qu’il apparaisse en bonne position et soit donc visible sur les moteurs de recherche. Pour cela, il faut, en quelque sorte, inciter les algorithmes de ces derniers à sélectionner le site parmi les réponses proposées. A cette fin, le site doit donc, on l’a vu, être actif et intégrer des mots-clés variés, corrélés aux activités et à la philosophie de la structure.
Adopter un style d’écriture adapté au web
En outre, il est impératif d’adopter un style d’écriture adapté au web afin de favoriser la lecture sur écran. Là, les règles sont assez simples : des textes découpés en plusieurs paragraphes avec des intertitres accrocheurs ; des phrases courtes ; une mise en page aérée et didactique avec des sauts de ligne et des bullet points ; un langage et un vocable accessibles qui correspondent au public cible et qui répondent à ses questionnements supposés ; enfin, des iconographies de bonne définition pour illustrer le propos et rendre l’ensemble attrayant à l’œil, sachant que la Fédération met à la disposition de ses entités une photothèque gratuite à laquelle on peut accéder via l’Extranet Fédéral. Le poids des mots, le choc des photos : la recette est efficace.